L'histoire
« Mon corps de femme s’est dessiné en même temps qu’il était condamné. A Auschwitz ».
Peut-on aimer, désirer quand on a vécu l’humiliation, l’horreur, la terreur, se voir dépouillé de ses vêtements, se dévêtir sous l’ordre des nazis et voir leurs regards de haine, de bêtise humaine, comment aimer après s’être fait attribuer un numéro sur son bras à jamais, n’être plus qu’un numéro ?
L'avis de la MDO
Merci Madame, pour vos mots, votre appétit de vie, de respect de l’autre, merci d’aimer la vie tout simplement, alors que d’autres s’appliquent à salir et faire souffrir leurs frères humains.